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24. Juillet 2009, 00:00 Music Festivals

Students @ Paléo 21.07

Nevena Puljic - Placebo, Kaiser Chiefs, Gossip, Sophie Hunger, White Lies, Izia, Daily Bread, The Bianca Story, Peter Kernel, Girls In The Kitchen, The V.ac., Anaïs, Julien Doré, La Chanson Du Dimanche, Trilok Gurtu, Les Gitans Dhoad Du Rajasthan, MasaladosaPremière soirée au Paléo, un seul...

Placebo, Kaiser Chiefs, Gossip, Sophie Hunger, White Lies, Izia, Daily Bread, The Bianca Story, Peter Kernel, Girls In The Kitchen, The V.ac., Anaïs, Julien Doré, La Chanson Du Dimanche, Trilok Gurtu, Les Gitans Dhoad Du Rajasthan, Masaladosa

Première soirée au Paléo, un seul mot : prometteur. Une nuit aux couleurs du rock‘n’roll.

18h30 : Gossip ouvre les festivités sur la grande scène, sous un soleil de plomb. Peu importe, les lunettes de soleil sont de rigueur. Premier faux pas : 20minutes de retard. Un presque événement pour le Paléo. Toutefois, le concert commence sur les chapeaux de roue et les tubes s’enchaînent : Standing in the way of control met la foule en transe et Under cross continue sur la même lignée. Un grand succès pour l’indéfinissable Beth Ditto qui jongle sur tous les plans de nos jours (mode, musique, pub, etc.). Un couac tout de même. Plutôt que d’explorer la musicalité de leurs chansons, Beth se lance dans des cris punks décevants ne reflétant malheureusement que peu les couleurs variées de ce nouvel album « Music for men ».

21h15 : Kaiser Chiefs entre en scène. Ponctuels comme des horloges suisses cette fois-ci. Une énergie à couper le souffle. Le chanteur entonne leurs hymnes, conçus pour des stades et scandés par une foule presque en délire, sans le moindre signe de fatigue apparent. « Ruby ruby », ou « Angry mob » résonne sur la Plaine de l’Asse et enchante un public plutôt jeune. Un concert sentant bon le Royaume-Uni et ses nouveaux groupes Indie-rock. Une réussite.

23h15 : Placebo et son chanteur Brian Molko prétendument clean de toute substance fait vibrer les jeunes comme les plus âgés. Un public hétéroclite s’amasse autour de la grande scène. La bonne humeur est de rigueur, quoi de plus normal pour un groupe de plus de quinze ans de carrière. Que l’on aime ou pas, le show, à l’américaine, reste impressionnant. Le nouvel album occupe le centre du spectacle pour le plaisir des uns, pour le malheur des autres. Un son innovant selon le chanteur ? Sans grand changement pour les connaisseurs.

00h45 : White Lies ! Le groupe tant attendu par tous les amateurs de new ou cold wave, de Joy Division, d’Echo& The Bunnymen ou encore de New Order. Un show sans grande surprise, en effet l’album « To lose my life » est débité à une vitesse folle, et pourtant…Pourtant, ça marche! Le charme du chanteur Harry McVeigh opère et sa voix à la Ian Curtis fait des miracles au Chapiteau. Les paroles elles-memes, aussi dramatiques soient-elles, installe une atmosphère toute spéciale. Un grand bravo a l'eclairage egalement, il y est pour beaucoup. Et qu’est-ce que c’est bon…Certains artistes n'ont aucun besoin d'en faire des tonnes. Lla musique suffit.

Une soirée remplissant toutes ses promesses. Le Paléo comme à ses plus grandes heures fera vibrer des milliers de gens. A suivre…

Commentaires
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norasmith 30.07.2009 à 17:13
C'est vrai que pour White Lies l'éclairage était parfaitement dirigé sur le sublime chanteur